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24 décembre 2006

Noël est passé. Trois ans déjà !

Avec Françoise nous nous retrouvons le dernier jour de 2003 alors que nous nous connaissons depuis plus de trente cinq ans.
En 2004 c’est l’année des tâtonnements, de la recherche d’un nouveau mode de vie entre Yvetot et Aix. En fin d’année il était même question d'un retour et puis non.
2005 c’est le partage, la vente de la maison de la rue de l’Epargne. Françoise récupère ses affaires et les stocke à Rouen.
L’ouverture en 2006 ! Après les formalités c’est l’achat de cette maison que Françoise récupère fin octobre pour l’aménager, l’habiter et, enfin, vous y recevoir tous, enfants et petits enfants.
Je suis vraiment très heureux de cet aboutissement alors que je l’accompagne dans cette aventure.

Noël 2006

Françoise a " resserré les rangs " et elle en est vraiment contente. Elle a pu rassembler son petit monde sans qu’il ne manque personne. Elle a retrouvé son grand fils rentré pour deux mois du Brésil, il me fascine par son regard bleu et profond. Si moi j’ai du mal à trouver mes mots quand il s’agit de prendre part à une conversation, je me contente de tenter d’accrocher ceux qui ont la parole facile, lui est intarissable, une encyclopédie vivante. Il est venu avec sa femme Marlène dont il prend d’autant plus soin, qu’originaire du Pérou, elle est quelque peu dépaysée dans notre pays dont elle découvre petit à petit la langue et les habitudes. Ce soir, avant de s’attaquer aux restes du réveillon, à la tombée de la nuit, nous sommes allé faire une courte promenade dans le froid et le brouillard sur le rivage désert des Petites Dalles. Quelques rares promeneurs, dont nous, osaient affronter l’atmosphère réfrigérante, sinistre mais grandiose de cette côte aux falaises abruptes dont des pans entiers tombent dans la mer, encore récemment.

17 décembre 2006

Rêves : Sans pantalon, les œufs.

Dans la journée m'est revenu ce rêve curieux de cette nuit.
Sans âge particulier, j'étais à Bourguignon,( la propriété de famille vendue et dont on ne parle plus depuis dix ans) et j'arrivais en chemise dans la grand salle à manger à l'heure du café. Heureusement ma chemise était assez longue car, bien gêné, je n'avais ni slip ni pantalon et je cherchais ma maman pour me dire où se trouvaient mes affaires. Je me vois ensuite sortir dans la rue dans cette tenue mais un peu rassuré tout de même car j'avais une cravate… Les interprétations sont ouvertes.
Les oeufs
Pour le bénéfice d’une kermesse j’étais chargé de vendre des œufs comme un camelot. En fait il s’agissait d’œufs (durs…) en plâtre pré peints en vert et qui pouvaient être repris pour être décorés.
Dans un stand, un certain Etienne me narguait en vendant, lui, des œufs sur le plat…

Autre genre. Un mélange d’actualité et de guerre d’Algérie réactivé par le souvenir évoqué par Françoise, du cousin Lucien, victime inocente de cette période peu glorieuse.
Nous étions en pleine époque et dans notre compagnie un appelé des « 2ième classe », un grand garçon tout simple, est promu au grade de colonel… En fait les officiers d’active rechignaient à partir en opération et le nouveau a été envoyé au feu. Il s’en est bien sorti et, étant en fin de service, il a pu rentrer chez lui avec la pension adéquate.

J'ai la conviction que les rêves sont, comme l’iceberg, l’émergence, un pourcentage minime d’une vie mentale intérieure, subconsciente ou inconsciente. Chaque image est symbole d’une pulsion ou d’une préoccupation. Il est intéressant de les retrouver au réveil, de les noter si possible, pour tenter de les interpréter afin de prendre un tant soit peu conscience de ce monde intérieur qui influe sur notre comportement.

A Yvetot
A une quinzaine de mètres de la maison, à portée de main pour ainsi dire, des bœufs à l’engrais, paissent et ruminent tranquillement. Paisibles, habités par leur instinct, ils semblent d’une patience infinie. Leur durée de vie est comptée pourtant et il leur reste peu de temps avant de se retrouver tout naturellement dans nos assiettes.

15 décembre 2006

Ordinateur et train électrique

Les jouets : ordinateur et train électrique
Ici c'est tout bon, le calme malgré l’approche des fêtes de Noël.
Oui je prends mes marques et je peux user de temps en temps de mon joujou informatique favori...
Que désirer de plus ?

Pour ses petits enfants, la maîtresse des lieux a consacré une pièce de jeux et installé le train électrique familial ; électrique certes, mais construit en "Lego" donc monté de toutes pièces élément par élément !
Il suscite donc la créativité comme un bon Meccano (sur Google : Livrable en 24h pour un Noël réussi…). J'ai plus joué au Meccano dans ma jeunesse qu'au train électrique que j’ai eu comme la plupart de mes copains ou cousins. En fait je préférais tout de même être dehors.
Page Décembre (cliquez)
Pour faire rouler le train : cliquez

01 décembre 2006

Décembre, oui le premier !

Bientôt (déjà..) la fin de l'année.

Le temps est tellement doux que les feuilles bien jaunies ne sont pas toutes tombées et les raisins sont délicieux, ceux restés sur les pieds, délaissés par les vendangeurs.
Françoise hier, en fin de sa randonnée du jeudi, a rapporté quelques grappes succulentes et voudrait en faire des confitures.

Qui êtes-vous ?

Ma photo
Un grand père, amateur de jardin et pratiquant le yoga.