Après un petit tour en région parisienne et en Normandie, l’atterrissage
à Aix est laborieux, le temps de retrouver ses marques, d’arroser les plantes
d’intérieur que j’avais rentrées craignant l’arrivée du froid, reprendre
contact avec les rendez vous pris à la banque, ne pas oublier la chorale du
mercredi soir, faire les courses indispensables, répondre aux correspondants,
retrouver les problèmes de cohabitation à propos des contrats, noter les
impressions du séjour, commencer à traiter les photos prises et notamment
celles de la guerre de 14 trouvées chez Geneviève et Thérèse, préparer la
réunion de l’atelier S. à Marseille vendredi sur le livre de Nathalie
Sarthou-Lajus « Sauver nos vies ».
Le jardin
attendra ; pour y finir les rangements d’automne, traiter les arbres
fruitiers à la tombée des feuilles, continuer le compostage. (L'été indien à l'Escoub)
Pendant mon absence c’est la voisine Ursula qui s’est chargée des animaux ; elle était ravie de se rendre utile en échange de la jouissance assez régulière du jardin avec ses petits enfants. Elle connaît la maison depuis les années 80 pour y avoir habité avec Pierre qui lui, mène toujours sa vie d’ermite dans le mobile home.
Pendant mon absence c’est la voisine Ursula qui s’est chargée des animaux ; elle était ravie de se rendre utile en échange de la jouissance assez régulière du jardin avec ses petits enfants. Elle connaît la maison depuis les années 80 pour y avoir habité avec Pierre qui lui, mène toujours sa vie d’ermite dans le mobile home.
Dans ce
milieu, je me sens calme, je souhaiterais pratiquer un peu plus le yoga mais
j’ai toujours quelque chose à faire de soi disant plus important.
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