C’est l’usage de commencer par le temps qu’il fait. Et la particularité de ce début de février est qu’il fait un temps exécrable. De mémoire de Parisien expatrié dans le Sud depuis près de quarante ans je n’ai jamais vu tant d’eau. Le bassin déborde depuis plusieurs jours et la terre a du mal à boire tout autour. Nous n’avons pas à craindre les inondations par notre situation élevée, ni les raz de marée ou tempêtes et nous ne pouvons que compatir avec les nombreuses personnes qui sont touchées.
Heureusement le beau temps revient vite.
Le 17 il semble que le printemps soit de retour. Avec hésitation
les narcisses, les crocus font leur apparition. Les crapauds s’accouplent dans
les bassins et les jeunes poissons sortent de la vase. Les tortues aussi
viennent profiter du soleil.
Après le carnage de
décembre la volière se cherche difficilement un statut. Les deux rescapés
qui seraient des mâles apparemment ont du mal à s’habituer aux nouveaux venus
surtout au couple d’Arlequins plutôt vindicatifs.
Le journal de février : clic
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