Evangile des invités au repas des noces (Matt 22 2-13)
J'apprécie ces temps de rencontre
du dimanche autour de l'eucharistie, même sans rien dire.
J'ai l'impression de partager une foi commune et de rejoindre une partie de l'humanité qui m'entoure dans une prière plus ou moins bavarde, chantante ou silencieuse.
Les homélies peuvent y aider. J'aimerais qu'elles m'appellent à un effort de présence à Dieu et à mes frères. Hélas je somnole le plus souvent, n’entendant qu’à moitié les longs baratins, la plupart du temps, bien inutiles.
J'ai l'impression de partager une foi commune et de rejoindre une partie de l'humanité qui m'entoure dans une prière plus ou moins bavarde, chantante ou silencieuse.
Les homélies peuvent y aider. J'aimerais qu'elles m'appellent à un effort de présence à Dieu et à mes frères. Hélas je somnole le plus souvent, n’entendant qu’à moitié les longs baratins, la plupart du temps, bien inutiles.
Pourrait on aménager un espace,
laisser la place à ceux ou celles qui voudraient faire quelques brefs
commentaires ou donner des intentions personnelles ? Je sais ! Moi le premier,
suis je prêt à m'investir ? J’en fais part par mail au célébrant et ce texte
est lu à l’office de ce dimanche : « Nous sommes les invités au
festin des noces ; le banquet a commencé ! Arborons nos habits de fête ! Je
suis invité mais moi qui me crois le centre du monde, ai-je mis mes habits de
fête ? Est-ce que je sais reconnaître les richesses cachées des personnes
qui m’entourent ? »
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